Meunier, tu dors...
Univers social
Cet atelier est une exploration de l’histoire du régime seigneurial par le prisme du monde des moulins et des meuniers.
À l’époque de la Nouvelle-France et tout au cours du régime seigneurial, le moulin est le centre de la vie des habitants. Dans un monde où la farine représente environ 80% de l’apport alimentaire, le moulin à farine est essentiel à la survie d’un village. Le seigneur avait pour obligation de faire construire un moulin et d’ériger des chemins pour y donner accès à la population.
Le moulin peut être à vent ou à eau. Quelles sont les différences entre les deux ?
En plus de la farine, on trouve aussi des moulins à scie puis à carder et fouler à laine. Les moulins permettent de combler des besoins essentiels : se nourrir, se loger et se vêtir.
Dans un moulin à vent, le meunier devait travailler tout aussi qu’il y avait du vent. Il travaillait parfois pendant plusieurs jours consécutifs. C’est ainsi qu’une chanson est née que les enfants connaissent tous, « meunier, tu dors ».
Le meunier est un personnage très intéressant à découvrir. Il devait obligatoirement prendre un apprenti pour assurer une relève. Le moulin est trop important pour ne pas assurer son fonctionnement. Cette pratique de transmission d’un métier et d’un savoir-faire, nous rappelle qu’il était normal de placer son enfant de 10 à 12 ans chez maître pour qu’il apprenne un métier. On retrouve plusieurs longues lignées familiales de meuniers.
La présentation est soutenue par des images, photos et vidéos d’archives.
Le sujet traite de l’Univers Social Nouvelle-France. La présentation traite également des mécanismes que l’on retrouvait dans les moulins ainsi le sujet aborde également les sciences et technologies.
Spécifications et besoins
Horaire :
Du lundi au vendredi. De
septembre à juin.
Durée : approximativement 60 minutes
La présentation est supportée par un Powerpoint
Coût : 5.00$ / élève (sans taxes)
INFORMATIONS ET RÉSERVATIONS
514-842-2063 ou skawanoti@videotron.ca
Politique en cas d’annulation: En cas d’annulation de l’activité à moins de 24 heures de préavis, le cachet entier devra être payé. À moins d’une semaine de préavis, 25% du cachet sera exigée. Une annulation à plus d’une semaine de préavis n’entraînera aucune pénalité.